TITRE ORIGINAL

The Cell

ORIGINE

USA

DUREE

1h43

DATE

2000

REALISATEUR

Tarsem Singh

SCENARIO

Mark Protosevich

PHOTOGRAPHE

Paul Laufer

EFFETS SPECIAUX

Clay Pinney
Kevin Tod Haug

MUSIQUE

Howard Shore

PRODUCTION

Julio Caro
Eric McLeod

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MA CRITIQUE

Ce film me fait un peu penser à SEVEN . Mais là où le premier restait sur un plan purement policier et rationnel, ici il est fait appel au fantastique. Le scénario peut paraître assez classique mais toute la force de l’œuvre réside dans l’imagerie qui hante l’action. THE CELL est sans aucun doute une réussite sur le plan graphique, on retrouve bien là l’auteur du clip de « Loosing My Religion » de REM. La raison s’efface devant l’inconscient. Tous les interdits sont librement montrés et décortiqués (masochisme, cruauté, mort, folie, putréfaction, bas instincts, morbidité). On contemple un tableau d’un peintre surréaliste. Tout cela fait que le film ne peut être vu et compris par tous, car, disons le, THE CELL est dur et éprouvant. Il montre le pire de ce que peut être l’homme. Il sort du sentier battu des œuvres politiquement correctes (cela vient peut être du fait que son auteur n’est pas un occidental). Et encore Singh s’est auto-sensuré.  A voir absolument pour se faire une idée.

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P

RESUME

Catherine Deane est une psychologue qui utilise une machine spécialement conçue pour s’infiltrer dans l’esprit de ses patients afin de les guérir de leur maux. Parallèlement à cela, Carl Stargher enlève des jeunes filles : il les torture mentalement puis les tue par à un système savamment mis en place par ses propres soins et finit par assouvir ses penchants sexuels sur les cadavres. Alors que sa dernière victime est retrouvée par le FBI, des indices permettent de remonter jusqu’à lui. Il a le temps cependant de kidnapper une autre étudiante avant d’être découvert par la police gisant sur le sol (il a été victime d’une attaque cérébrale). Désemparé par l’urgence de retrouver la jeune fille, le FBI va faire appel au professeur Deane et à sa machine pour pénétrer l’esprit de Stargher et ainsi retrouver la jeune fille avant qu’elle ne périsse. Mais s’immiscer dans les pensées d’un psychopathe est loin d’être sans danger…

DISTRIBUTION

Jennifer Lopez (Catherine Deane)

Vince Vaughn (Peter Novak)

Vincent d’Onofrio (Carl Stargher)

Marianne Jean Baptiste (Miriam Kent)

Jake Weber (Gordon Ramsey)

Dylan Beker (Henry West)

Patrick Bauchau ( Lucian Baines)

Jake Thomas (Carl Stargher enfant)

kyhy


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